A1 - Les
sabots d'Hélène
A2 -
Chanson pour l'Auvergnat
A3 - La
première fille (qu'on a pris dans ses bras)
A4 - La
prière (sur un poème de Francis Jammes)
A5 -
Gastibelza (L'Homme à la carabine) (sur un poème de Victor Hugo)
B1 - La
mauvaise herbe
B2 - Une
jolie fleur (dans une peau de vache)
B3 - Je
suis un voyou (la tramontane)
B4 - Le
mauvais sujet repenti
B5 - P...
de toi
Que l'on ne se méprenne pas, Brassens respectait énormément la femme, que ce soit Jeanne, Margot, Hélène, la jeune fille de "P..... de Toi" ou d'autres! malgré sa "non-demande en mariage".
RépondreSupprimerGeorges Brassens mérite vraiment qu'on revisite sérieusement tout son répertoire, demandez donc à Maxime Leforestier ce qu'il en pense! (Surtout entre 1953 et 1966 ou il trouva l'Inspiration au fin fond de l'impasse Florimond dans le 14ème, chez Jeanne justement.)
Et Merci vraiment pour le partage.
Petit rajout pour ceux qui aiment Georges Brassens, le formidable livre de Jacques Vassal, Brassens: Le regard de 'Gibraltar'
RépondreSupprimerCe livre est un événement. Dans la longue liste de livres consacrés à Georges Brassens (biographies, essais, témoignages, albums illustrés), il restait un ouvrage à écrire, un seul, mais fondamental. Celui qui révèle Brassens au plus vrai, à travers le regard de "Gibraltar", alias Pierre Onténiente, qui aura été non seulement, de tous les proches de l'artiste, l'ami par excellence, mais aussi le "copain d'abord ", celui qui ne l'a jamais quitté d'une semelle du jour où ils se sont connus, en 1933, au camp de Basdorf en Allemagne où les deux hommes avaient été enrôlés dans le Service du travail obligatoire), jusqu'à celui de la mort de Brassens, le 29 octobre 1981. Et même au-delà, puisque Pierre Onténiente a continué d'assurer une sorte de présence, de mémoire vivante de l'artiste. Jusqu'ici, par discrétion et modestie, "Gibraltar" n'avait témoigné que de manière fragmentaire et occasionnelle, d'un livre ou d'un journal à l'autre. Cette fois, vingt-cinq ans après la mort de son ami, il a fini par accepter de livrer "son" Brassens, un Brassens familier voire intime, que l'on découvre ou redécouvre, de Sète à Basdorf, de l'anonymat à la célébrité, de l'Olympia à Bobino. Son secrétaire assiste en témoin privilégié à la naissance de ses chansons, l'accompagne en tournée, conduit sa voiture, répond au courrier et au téléphone, gère ses éditions, bref le décharge des soucis pratiques et aide ainsi à la création d'une œuvre considérable. Jacques Vassal, qui a recueilli ce témoignage, replace chaque anecdote, chaque souvenir dans le contexte de la carrière du chanteur, et celle-ci dans l'Histoire tout court. Le livre comporte aussi une série de documents inédits prêtés par " Gibraltar", complétant le caractère de référence de cette captivante lecture. (babelio)